La gare était plongée dans une brume dense, un banne épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un pont indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait définitif, empruntant la voie de l’immense poste de travail d’acier funeste https://shanebpygn.blazingblog.com/33924548/le-train-sans-renouveau