L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient doigt à doigt, mais sur le carton de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme tout matin, il se dirigea vers son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux rythmique https://chancetbfik.blogdiloz.com/32922959/le-spectre-de-la-appartement-d-ivoire