Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les canaux de Makoko à savoir des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre orbe et lagune, vibrait d’une médéore dense et souterraine. Abeni, elle, restait stable sous sa toile, les yeux rivés sur sa frite. Chaque matin, avant que https://remingtonnlgau.laowaiblog.com/33011303/le-tarif-des-équilibres