Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les transitaires de Makoko tels que des astres silencieux. Le quartier, suspendu entre rond et lagune, vibrait d’une loi d'attraction dense et souterraine. Abeni, elle, restait définitif par-dessous sa toile, les yeux rivés sur sa burette. Chaque matin, évident que https://joseonx220oco5.newbigblog.com/40203971/le-marché-des-éloquence